Après une visite au Bastion de l'Ost Pourpre pour sa demande de recrutement le Baron revient dans la soirée pour remplir la deuxième condition de son recrutement, il monta l'escalier menant au bureau de la Connétable Aurys.
Il s'inclina et dit :
Bonsoir Connétable Aurys je suis là pour vous dire ce que vous attendiez, avez-vous le temps de m'écouter ?
Horsten n'aimé pas trop raconter ce qu'il c'était passé ces derniers temps celà le rendait nerveux mais il devait le faire pour rentrer dans l'Ordre
[Candidature refusée] Baron Horsten Ravensword
[Candidature refusée] Baron Horsten Ravensword
La ressurection est par moment pire que la mort
-
Lomah de Sangre
- Chambellan
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Réveil en sursaut.
Depuis quand suis-je en train de pioncer la tête la première sur les derniers rapports de l'Échiquier ? La bouche ouverte, la bave humide, l'air hagard et l'envie de meurtre au bout des doigts.
Trois jours sans dormir, d'affilé, c'était une mauvaise idée. L'endurance du corps de la magotte a ses limites.
- ... Avez-vous le temps de m'écouter ?
Je regarde autours de moi. Les bureaux sont vides. Je suis seule. La nuit menace de dégorger de la fenêtre. La mèche de ma chandelle fait du chantage au suicide avec sa propre cire.
Y'a un gus devant moi qui courbe l'échine à lécher le plancher.
Il pue la mort. Il l'est sans doute. Tous les chevaliers de la mort me rappelle Morthiel.
J'aime pas Morthiel.
- Elle est pas là. Qui la demande ? Et d'abord c'est une heure pour les visites ? Vous frappez jamais aux portes ?
De toute évidence mes bonnes manières ont foutu le camp avec mes heures de sommeil en goguette.
-...Je connais un certain Adjoint qui va pas voler la crémation de sa solde.
Depuis quand suis-je en train de pioncer la tête la première sur les derniers rapports de l'Échiquier ? La bouche ouverte, la bave humide, l'air hagard et l'envie de meurtre au bout des doigts.
Trois jours sans dormir, d'affilé, c'était une mauvaise idée. L'endurance du corps de la magotte a ses limites.
- ... Avez-vous le temps de m'écouter ?
Je regarde autours de moi. Les bureaux sont vides. Je suis seule. La nuit menace de dégorger de la fenêtre. La mèche de ma chandelle fait du chantage au suicide avec sa propre cire.
Y'a un gus devant moi qui courbe l'échine à lécher le plancher.
Il pue la mort. Il l'est sans doute. Tous les chevaliers de la mort me rappelle Morthiel.
J'aime pas Morthiel.
- Elle est pas là. Qui la demande ? Et d'abord c'est une heure pour les visites ? Vous frappez jamais aux portes ?
De toute évidence mes bonnes manières ont foutu le camp avec mes heures de sommeil en goguette.
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"The show must go on, I'll face it with a grin, I'm never giving in
On with the show
I'll top the bill, I'll overkill, I have to find the will to carry on
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Le Baron se releva de sa révérence et dit :
Bonsoir veuillez m'excuser si je vous reveille mais je pensais que la Connétable Aurys était là, je suis le Baron Horsten Ravensword et je venais pour ce qu'elle m'avait demandée. Vu son absence je repasserai demain merci beaucoup et bonne nuit et
Horsten fît demi-tour et il se dirigea vers la sortie.
Bonsoir veuillez m'excuser si je vous reveille mais je pensais que la Connétable Aurys était là, je suis le Baron Horsten Ravensword et je venais pour ce qu'elle m'avait demandée. Vu son absence je repasserai demain merci beaucoup et bonne nuit et
Horsten fît demi-tour et il se dirigea vers la sortie.
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Lomah de Sangre
- Chambellan
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Ma mémoire travaille à toute vitesse. J'ai toujours eu une bonne mémoire. Père me l'a toujours dit.
Horsten...
Ce Horsten, là ?
Je me masse l'arrête du nez en haussant un sourcil.
- Et c'est tout ? Vous pénétrez dans une enceinte militaire, ne vous faite pas annoncer, me dérangez en plein travail, me donnez du "Baron" sans en embrasser les manières et ce sans la moindre justification ?
Je me cale au fond de mon siège, jambes croisées.
- Jusqu'à preuve du contraire je ne crois que vous soyez suffisamment important pour vous permettre la familiarité d'accéder à notre Connétable en évitant tout le protocole qui va avec. Vous n'êtes pas son ami, Baron. Vous êtes tout au plus... un allié. Quoi qu'un allié sans soldats est de peu d'intérêt.
Je souris.
C'est mesquin, j'en conviens, mais ce sagouin glacé m'irrite avec son impolitesse frigide.
- A moins que la perspective de converser avec le Chambellan de l'Ost Pourpre vous effraie ?
Horsten...
Ce Horsten, là ?
Je me masse l'arrête du nez en haussant un sourcil.
- Et c'est tout ? Vous pénétrez dans une enceinte militaire, ne vous faite pas annoncer, me dérangez en plein travail, me donnez du "Baron" sans en embrasser les manières et ce sans la moindre justification ?
Je me cale au fond de mon siège, jambes croisées.
- Jusqu'à preuve du contraire je ne crois que vous soyez suffisamment important pour vous permettre la familiarité d'accéder à notre Connétable en évitant tout le protocole qui va avec. Vous n'êtes pas son ami, Baron. Vous êtes tout au plus... un allié. Quoi qu'un allié sans soldats est de peu d'intérêt.
Je souris.
C'est mesquin, j'en conviens, mais ce sagouin glacé m'irrite avec son impolitesse frigide.
- A moins que la perspective de converser avec le Chambellan de l'Ost Pourpre vous effraie ?
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S'arrete d'un seul coup se retourne et fixe de son seul oeil la femme assise au bureau.
Je suis toujour rentrée comme cela dans le Bastion et la Connétable Aurys ne m'a jamais parlée d'un problème dû a cela, et pour vous avoir dérangé pendant votre travail je ne pense pas que dormir fasse parti de vos taches les plus importantes, pour ce qui ai de mon amitiée je pense que si je n'étais rien d'autre qu'un allié que vous dites sans aucunes importances car je n'ai plus de soldats alors pourquoi a t-elle demandée que l'on me soigne il n'y a pas longtemps si j'avais été sans iportance elle m'aurait peut être laissé repartir sans rien. Alors maintenant cessez votre provocation Chambellan ce n'est pas une manière de vous adresser a un simple visiteur
Horsten était toujour calme mais la façon dont cette Dame lui parlé le mettait un peu en rogne.
A moins que vous n'ayez encore quelque chose de comme ça a me dire je parts
Horsten se tourna vers les escaliers menant a la sortie
Je suis toujour rentrée comme cela dans le Bastion et la Connétable Aurys ne m'a jamais parlée d'un problème dû a cela, et pour vous avoir dérangé pendant votre travail je ne pense pas que dormir fasse parti de vos taches les plus importantes, pour ce qui ai de mon amitiée je pense que si je n'étais rien d'autre qu'un allié que vous dites sans aucunes importances car je n'ai plus de soldats alors pourquoi a t-elle demandée que l'on me soigne il n'y a pas longtemps si j'avais été sans iportance elle m'aurait peut être laissé repartir sans rien. Alors maintenant cessez votre provocation Chambellan ce n'est pas une manière de vous adresser a un simple visiteur
Horsten était toujour calme mais la façon dont cette Dame lui parlé le mettait un peu en rogne.
A moins que vous n'ayez encore quelque chose de comme ça a me dire je parts
Horsten se tourna vers les escaliers menant a la sortie
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Kéona
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- Localisation : Loin, loin, loin. Trop loin.
Kéona marchait dans les couloirs du bastion, désirant se rendre sur le toit où elle avait aperçu son raptor, couinant comme un chaton appeuré. Elle passa près du grand bureau de la Connétable et de la Chambellan, et perçut la voix d'un homme. Une voix qui lui semblait familière. Elle s'arrêta net.
- Bonsoir, commença-t-il, veuillez m'excuser si je vous reveille mais je pensais que la Connétable Aurys était là, je suis le Baron Horsten Ravensword.
Ce nom. Il lui disait quelque chose. Elle réfléchit a toute vitesse. Elle jetta un oeil à l'intérieur. Les yeux luminescent du Baron lui apprirent qu'il était chevalier de la mort. Elle était de plus en plus persuadée de la connaître. Sans vraiment réfléchir, elle entra dans la pièce, et s'inclina devant la Chambellan avec respect.
- Dame Lomah, fit elle en guise de salutation, avant de poser son regard sur le Baron. Sir Horsten ...
Le ton qu'elle employa envers l'arrivé fut glacial malgrès elle. Elle ne comprenait pas, elle lui en voulait, mais elle ne savait absolument pas pourquoi. Que lui arrivait-il ? Elle se retourna vers la rousse.
- Me permettez vous de rester quelques instants, je vous prie ? demanda-t-elle poliment, sans même justifier sa demande.
Il fallait qu'elle reste. C'était peut être vitale. Mais elle n'arrivait pas a comprendre pourquoi.
- Bonsoir, commença-t-il, veuillez m'excuser si je vous reveille mais je pensais que la Connétable Aurys était là, je suis le Baron Horsten Ravensword.
Ce nom. Il lui disait quelque chose. Elle réfléchit a toute vitesse. Elle jetta un oeil à l'intérieur. Les yeux luminescent du Baron lui apprirent qu'il était chevalier de la mort. Elle était de plus en plus persuadée de la connaître. Sans vraiment réfléchir, elle entra dans la pièce, et s'inclina devant la Chambellan avec respect.
- Dame Lomah, fit elle en guise de salutation, avant de poser son regard sur le Baron. Sir Horsten ...
Le ton qu'elle employa envers l'arrivé fut glacial malgrès elle. Elle ne comprenait pas, elle lui en voulait, mais elle ne savait absolument pas pourquoi. Que lui arrivait-il ? Elle se retourna vers la rousse.
- Me permettez vous de rester quelques instants, je vous prie ? demanda-t-elle poliment, sans même justifier sa demande.
Il fallait qu'elle reste. C'était peut être vitale. Mais elle n'arrivait pas a comprendre pourquoi.
Horsten vit une jeune femme entrer dans la pièce , il s'inclina dans sa direction :
Bonsoir , je ne suis pas contre a ce que vous restiez je partai justement, à moins que vous n'ayez quelque chose à me dire je vous laisse avec votre Chambellan
Horsten s'arreta un instant attendant une réponse de la part de la jeune femme.
Bonsoir , je ne suis pas contre a ce que vous restiez je partai justement, à moins que vous n'ayez quelque chose à me dire je vous laisse avec votre Chambellan
Horsten s'arreta un instant attendant une réponse de la part de la jeune femme.
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Lomah de Sangre
- Chambellan
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Lomah accueillit la tirade d'Horsten avec un rire cinglant. Ses yeux d'or fixaient le chevalier de la mort comme deux lacs brulants. Ni haine, ni amour dans ce regard, juste une profonde indifférence.
A vrai dire, aucune humanité.
- Oh... mes excuses "Baron". Comprenez que votre naïveté est comment dire... touchante. Notre Connétable ne soigne personne. Ce n'est pas une infirmière. Et si jamais elle a eu assez de commisération pour ordonner que nos médecins s'occupent de votre cas, alors n'y voyez aucun signe de votre indéfectible différence. Un soldat blessé est un soldat inutile.
-...Cessez votre provocation Chambellan ce n'est pas une manière de vous adresser a un simple visiteur. A moins que vous n'ayez encore quelque chose de comme ça a me dire je parts
On frappa à la porte sur ses entre-faits.
***********************************************************
Kéona.
Elle se fige en observant l'indésirable. Elle n'aime pas les Chevaliers de la Mort. Qui les aime, je vous le demande ?
- Faites, Chevalier.
Je fais signe à la jeune elfe d'entrer et de prendre place.
-Bonsoir , je ne suis pas contre a ce que vous restiez je partais justement, à moins que vous n'ayez quelque chose à me dire je vous laisse avec votre Chambellan.
- Messire "visiteur" ou plutôt devrais-je dire "intrus"? Pourquoi donc êtes vous en nos murs ? Vous n'avez même pas la correction de nous l'expliquer ? Ne sommes nous pas assez "importants" pour recueillir l'objet de votre visite ?
C'est ma dernière sommation, ensuite j'ordonnerais à Kéona de le mettre à la porte manu militari.
[HRP : juste un mot, ne fuis donc pas le RP que nous te proposons ! Tu devrais répondre aux membres qui t'accueillent, même si ce n'est pas la connétable, surtout si tu as un officier en face de toi, comme c'est le cas en ce moment même ^^ J'espère que tu joueras le jeu, c'est important pour la suite
]
A vrai dire, aucune humanité.
- Oh... mes excuses "Baron". Comprenez que votre naïveté est comment dire... touchante. Notre Connétable ne soigne personne. Ce n'est pas une infirmière. Et si jamais elle a eu assez de commisération pour ordonner que nos médecins s'occupent de votre cas, alors n'y voyez aucun signe de votre indéfectible différence. Un soldat blessé est un soldat inutile.
-...Cessez votre provocation Chambellan ce n'est pas une manière de vous adresser a un simple visiteur. A moins que vous n'ayez encore quelque chose de comme ça a me dire je parts
On frappa à la porte sur ses entre-faits.
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Kéona.
Elle se fige en observant l'indésirable. Elle n'aime pas les Chevaliers de la Mort. Qui les aime, je vous le demande ?
- Faites, Chevalier.
Je fais signe à la jeune elfe d'entrer et de prendre place.
-Bonsoir , je ne suis pas contre a ce que vous restiez je partais justement, à moins que vous n'ayez quelque chose à me dire je vous laisse avec votre Chambellan.
- Messire "visiteur" ou plutôt devrais-je dire "intrus"? Pourquoi donc êtes vous en nos murs ? Vous n'avez même pas la correction de nous l'expliquer ? Ne sommes nous pas assez "importants" pour recueillir l'objet de votre visite ?
C'est ma dernière sommation, ensuite j'ordonnerais à Kéona de le mettre à la porte manu militari.
[HRP : juste un mot, ne fuis donc pas le RP que nous te proposons ! Tu devrais répondre aux membres qui t'accueillent, même si ce n'est pas la connétable, surtout si tu as un officier en face de toi, comme c'est le cas en ce moment même ^^ J'espère que tu joueras le jeu, c'est important pour la suite
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Horsten n'aimait pas du tout la façon dont lui parlait le Chambellan mais pour ne pas manquer de respect il se retourna et répondit :
Je viens à la demande a la Connétable, elle m'avait donnée quelque condition pour devenir membre de l'Ost Pourpre et je venais remplir d'lune d'elle qui était de raconter ce qu'il c'était passé il y a peu a propos de moi, pour ce qui est de mon "intrusion" si cela vous dérange ma façon d'entrer je ne le ferai plus et comme je l'ai dis je fais cela a chaque fois et personnes ne m'a jamais rien dis
Horsten ne quitta pas le Chambellan des yeux attendant un réponse qui sera sans doute comme les autres.
Je viens à la demande a la Connétable, elle m'avait donnée quelque condition pour devenir membre de l'Ost Pourpre et je venais remplir d'lune d'elle qui était de raconter ce qu'il c'était passé il y a peu a propos de moi, pour ce qui est de mon "intrusion" si cela vous dérange ma façon d'entrer je ne le ferai plus et comme je l'ai dis je fais cela a chaque fois et personnes ne m'a jamais rien dis
Horsten ne quitta pas le Chambellan des yeux attendant un réponse qui sera sans doute comme les autres.
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Lomah de Sangre
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- Localisation : Là où on s'y attend le moins
Je regarde le petit "Baron". Il est déconcertant de constater qu'il n'y a aucun filtre, semble-t-il, entre sa pensée et ses paroles. Le tout est charrié directement de son cerveau sans réfléchir. l'honnêteté même...
Ou la bêtise.
- Que croyez-vous ? Que notre enceinte militaire est un moulin ? Vous avez assommé l'Adjoint Rainer sans sommation à chaque fois que vous êtes entré ici ? C'est soit que vous êtes une anguille, soit que nos soldats sont des passoires. Je tâcherais de tirer cela au clair. Le fait est que vous n'avez pas de passe-droit plus qu'un autre... "Baron". Quoi que vous ayez pu interpréter des largesses de notre Connétable.
Je ferais mention à Aurys de sa propension à attirer les prétendants indésirables. Notre foudre de guerre manque parfois totalement de jugeote en matière de relations humaines. C'est pourtant une gageure en terme de survie.
Je lui désigne une chaise en face de moi et fait signe à Kéona de se placer derrière lui pour un entretien ... rapproché.
- Néanmoins, et malgré la forme déplorable de celle-ci, votre candidature, reste une candidature. En tant qu'officier et bras-droit direct de Dame de Nor Laedro, je suis en mesure d'écouter votre requête.
Mon poignet fait un mouvement gracieux dans l'air.
- Allez-y, faites-nous part de votre trépidant récit !
Ou la bêtise.
- Que croyez-vous ? Que notre enceinte militaire est un moulin ? Vous avez assommé l'Adjoint Rainer sans sommation à chaque fois que vous êtes entré ici ? C'est soit que vous êtes une anguille, soit que nos soldats sont des passoires. Je tâcherais de tirer cela au clair. Le fait est que vous n'avez pas de passe-droit plus qu'un autre... "Baron". Quoi que vous ayez pu interpréter des largesses de notre Connétable.
Je ferais mention à Aurys de sa propension à attirer les prétendants indésirables. Notre foudre de guerre manque parfois totalement de jugeote en matière de relations humaines. C'est pourtant une gageure en terme de survie.
Je lui désigne une chaise en face de moi et fait signe à Kéona de se placer derrière lui pour un entretien ... rapproché.
- Néanmoins, et malgré la forme déplorable de celle-ci, votre candidature, reste une candidature. En tant qu'officier et bras-droit direct de Dame de Nor Laedro, je suis en mesure d'écouter votre requête.
Mon poignet fait un mouvement gracieux dans l'air.
- Allez-y, faites-nous part de votre trépidant récit !
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Horsten regarda la chaise puis le Chambellan , la lueur de ses yeux était plus brillante que d'habitude.
Vous etes peut être Chambellan et maître en ces lieux en l'absence de la Connétable mais je vous conseil de calmer vos paroles, je suis peut être calme en ce-moment mais je m'enerve assez vite, si vous voulez tester mes limites vous pouvez le faire mais le resultat que ça entrainera ne sera pas très beau a voir, mais par respect envers l'Ost Pourpre je vais faire ce pour quoi je suis là...
Horsten se calma un peu avant de prendre place dans la chaise face au Chambellan
Tout a commençait a ma capture par le Fléau lors d'une expédition en Norfendre, j'y suis resté prisonnié pendant deux mois. Pendant ce temps une démoniste de mon Ordre Skyra Astano soeur Delientra Astano ma femme prit la tête du Sombre Pacte , elle reussit a tourner les membres de mon Ordre contre la Baronne et elle ordonna sa mise a mort, Skyra périt peu après par je ne sais quelles raisons.
Lors de mon retour dans les Royaume de l'Est le Sombre Pacte était dispersé j'ai reussi a retrouver quelques membres mais pas assez pour lui redonner son image d'origine.
Lors d'une visite au Fort d'Ebene , j'ai fais la recontre d'une personne que je ne penserai jamais retrouver ici, c'était Skyra qui était devenue chevalier de la mort. Je jura de la tuer, lors d'une de ses leçon avec sa maîtresse d'arme je profita de l'occasion pour la tuer malheuresement pour moi Kharta m'avait vu, elle engagea un assassin, cet assassin me retrouva dans les cryptes de la Cathédrale de la Lumière a Hurlevent, il s'en ai suivi un combat acharné où je reussi a le blesser , mais lui aussi m'avait blessé aux jambes, c'est alors que Kharta et une certaine Ombresang sont arrivées et elles m'ont toutes les deux attaquaient, l'assassin reussit malgré ses blessure a se placer dans mon dos et il me donna un coup de dague dans la bas du dos, les deux femmes en profitairent pour me planter les épaules heuresement pour moi je portai mes épaulières.Je reussi a faire un sort pour les ecarter et j'ai fuis en direction de l'Achérus.
Le lendemain je me suis rendu ici a votre Bastion et la Connétable Aurys a demandée a une démoniste de me soigner.
Cette après-midi je suis venus lui parler pour ma candidature mais elle m'a dit de revenir plus tard et me voilà.
Horsten prit une grande inspiration attendant un réponse de l'une des deux femmes présentent dans la pièce.
Vous etes peut être Chambellan et maître en ces lieux en l'absence de la Connétable mais je vous conseil de calmer vos paroles, je suis peut être calme en ce-moment mais je m'enerve assez vite, si vous voulez tester mes limites vous pouvez le faire mais le resultat que ça entrainera ne sera pas très beau a voir, mais par respect envers l'Ost Pourpre je vais faire ce pour quoi je suis là...
Horsten se calma un peu avant de prendre place dans la chaise face au Chambellan
Tout a commençait a ma capture par le Fléau lors d'une expédition en Norfendre, j'y suis resté prisonnié pendant deux mois. Pendant ce temps une démoniste de mon Ordre Skyra Astano soeur Delientra Astano ma femme prit la tête du Sombre Pacte , elle reussit a tourner les membres de mon Ordre contre la Baronne et elle ordonna sa mise a mort, Skyra périt peu après par je ne sais quelles raisons.
Lors de mon retour dans les Royaume de l'Est le Sombre Pacte était dispersé j'ai reussi a retrouver quelques membres mais pas assez pour lui redonner son image d'origine.
Lors d'une visite au Fort d'Ebene , j'ai fais la recontre d'une personne que je ne penserai jamais retrouver ici, c'était Skyra qui était devenue chevalier de la mort. Je jura de la tuer, lors d'une de ses leçon avec sa maîtresse d'arme je profita de l'occasion pour la tuer malheuresement pour moi Kharta m'avait vu, elle engagea un assassin, cet assassin me retrouva dans les cryptes de la Cathédrale de la Lumière a Hurlevent, il s'en ai suivi un combat acharné où je reussi a le blesser , mais lui aussi m'avait blessé aux jambes, c'est alors que Kharta et une certaine Ombresang sont arrivées et elles m'ont toutes les deux attaquaient, l'assassin reussit malgré ses blessure a se placer dans mon dos et il me donna un coup de dague dans la bas du dos, les deux femmes en profitairent pour me planter les épaules heuresement pour moi je portai mes épaulières.Je reussi a faire un sort pour les ecarter et j'ai fuis en direction de l'Achérus.
Le lendemain je me suis rendu ici a votre Bastion et la Connétable Aurys a demandée a une démoniste de me soigner.
Cette après-midi je suis venus lui parler pour ma candidature mais elle m'a dit de revenir plus tard et me voilà.
Horsten prit une grande inspiration attendant un réponse de l'une des deux femmes présentent dans la pièce.
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Lomah de Sangre
- Chambellan
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- Localisation : Là où on s'y attend le moins
Je dissimule mal un ricanement sceptique et me permets une pique que ce pauvre hère ne parviendra sans doute pas à saisir.
- La Concierge de La Garnison du Ruisseau de l'est vous écoute, mon bon... Allez-y. Ne nous faites pas languir !
Horsten posa son séant sur le siège gracieusement offert et me vomit alors un récit aussi confus que folâtre. Néanmoins ma chair en imprime toutes les informations et range dans ma cervelle bien grasse chaque nom cité.
Vieille habitude de... concierge.
Je fini par battre des paupières plus ou moins repue comme une oie d'une histoire bien farfelue. Repas dont je me serrais bien passé. J'agite alors vivement les doigts comme pour éclaircir les données de ce conte touffu.
- Pardonnez moi, "Baron",... mais j'essaie d'ordonner votre témoignage. Non pas que ça m'intéresse mais j'aimerais tout de même comprendre : Vous vous faites capturer par l'ennemi. Les mercenaires sous vos ordres se rebellent bien vite en l'absence de leur chef et, au lieu de vous porter secours, tuent votre épouse. Vous vous échappez, animé par la soif de vengeance. Vous ratez piteusement votre tentative de dite vengeance ce qui occasionne poursuite, tentative d'assassinat, et fuite lamentable. Vous êtes aux abois et vous tournez vers ... l'Ost Pourpre.
Je prend une simple inspiration avant de reprendre le fusillant du regard :
-Votre récit prouve à lui seul que vous n'avez pas assez de charisme pour discipliner vos soldats, que vous n'avez pas les compétences pour parachever vos désirs de vengeance et que par ailleurs vous êtes suffisamment sanguin pour succomber à ce genre de passions. Et qui plus est, vous êtes la cible de plusieurs assassins et recherché par vos anciens compagnons afin de vous occire, ce qu'entre nous, je ne peux que leur savoir gré.
Je pose mon menton dans le creux de ma paume avec une délicatesse fabuleuse-Mais ne le suis-je pas constamment ?- un sourire en coin aux lèvres.
- En ces termes votre candidature me semble plus une source d'ennuis qu'un quelconque atout pour notre ordre, non ?
- La Concierge de La Garnison du Ruisseau de l'est vous écoute, mon bon... Allez-y. Ne nous faites pas languir !
Horsten posa son séant sur le siège gracieusement offert et me vomit alors un récit aussi confus que folâtre. Néanmoins ma chair en imprime toutes les informations et range dans ma cervelle bien grasse chaque nom cité.
Vieille habitude de... concierge.
Je fini par battre des paupières plus ou moins repue comme une oie d'une histoire bien farfelue. Repas dont je me serrais bien passé. J'agite alors vivement les doigts comme pour éclaircir les données de ce conte touffu.
- Pardonnez moi, "Baron",... mais j'essaie d'ordonner votre témoignage. Non pas que ça m'intéresse mais j'aimerais tout de même comprendre : Vous vous faites capturer par l'ennemi. Les mercenaires sous vos ordres se rebellent bien vite en l'absence de leur chef et, au lieu de vous porter secours, tuent votre épouse. Vous vous échappez, animé par la soif de vengeance. Vous ratez piteusement votre tentative de dite vengeance ce qui occasionne poursuite, tentative d'assassinat, et fuite lamentable. Vous êtes aux abois et vous tournez vers ... l'Ost Pourpre.
Je prend une simple inspiration avant de reprendre le fusillant du regard :
-Votre récit prouve à lui seul que vous n'avez pas assez de charisme pour discipliner vos soldats, que vous n'avez pas les compétences pour parachever vos désirs de vengeance et que par ailleurs vous êtes suffisamment sanguin pour succomber à ce genre de passions. Et qui plus est, vous êtes la cible de plusieurs assassins et recherché par vos anciens compagnons afin de vous occire, ce qu'entre nous, je ne peux que leur savoir gré.
Je pose mon menton dans le creux de ma paume avec une délicatesse fabuleuse-Mais ne le suis-je pas constamment ?- un sourire en coin aux lèvres.
- En ces termes votre candidature me semble plus une source d'ennuis qu'un quelconque atout pour notre ordre, non ?
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Kéona
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- Localisation : Loin, loin, loin. Trop loin.
Kéona observa l'homme un moment, lorsqu'il se décida a s'assoire. Elle vint se placer près de la chaise où il se tenait, et écouta son récit. Elle eu du mal a le comprendre, mais le résumé de la Chambellan l'aida grandement.
-Votre récit prouve à lui seul que vous n'avez pas assez de charisme pour discipliner vos soldats, que vous n'avez pas les compétences pour parachever vos désirs de vengeance et que par ailleurs vous êtes suffisamment sanguin pour succomber à ce genre de passions. Et qui plus est, vous êtes la cible de plusieurs assassins et recherché par vos anciens compagnons afin de vous occire, ce qu'entre nous, je ne peux que leur savoir gré.
Ouch. Commment le "pauvre" Baron allait-il réagir. Elle n'en savait rien, mais cela lui était égale. Encore une fois, elle ne savait pas pourquoi. Elle resta silencieuse, observant le moindre geste de l'homme. Les Chevaliers de la Mort sont imprévisibles, tout le monde le sait. Elle posa les mains sur les poignées de ses dagues, méfiante.
- En ces termes votre candidature me semble plus une source d'ennuis qu'un quelconque atout pour notre ordre, non ?
La voleuse hocha la tête. Une vieille homme étalé devant la garnison lui revint en tête. Un homme sur le toit riait. Etait-ce lui ? Le vieillard semblait mort, il ne bougeait plus. Elle revit le viaduc des Hautes-Terres d'Arathi. Le même homme riait, ses yeux bleux luminescent. Etait-ce lui ? L'elfe observa le Baron.
- Baron, êtes vous sûr de n'avoir oublié aucun détail ? demanda-t-elle, suspicieuse.
-Votre récit prouve à lui seul que vous n'avez pas assez de charisme pour discipliner vos soldats, que vous n'avez pas les compétences pour parachever vos désirs de vengeance et que par ailleurs vous êtes suffisamment sanguin pour succomber à ce genre de passions. Et qui plus est, vous êtes la cible de plusieurs assassins et recherché par vos anciens compagnons afin de vous occire, ce qu'entre nous, je ne peux que leur savoir gré.
Ouch. Commment le "pauvre" Baron allait-il réagir. Elle n'en savait rien, mais cela lui était égale. Encore une fois, elle ne savait pas pourquoi. Elle resta silencieuse, observant le moindre geste de l'homme. Les Chevaliers de la Mort sont imprévisibles, tout le monde le sait. Elle posa les mains sur les poignées de ses dagues, méfiante.
- En ces termes votre candidature me semble plus une source d'ennuis qu'un quelconque atout pour notre ordre, non ?
La voleuse hocha la tête. Une vieille homme étalé devant la garnison lui revint en tête. Un homme sur le toit riait. Etait-ce lui ? Le vieillard semblait mort, il ne bougeait plus. Elle revit le viaduc des Hautes-Terres d'Arathi. Le même homme riait, ses yeux bleux luminescent. Etait-ce lui ? L'elfe observa le Baron.
- Baron, êtes vous sûr de n'avoir oublié aucun détail ? demanda-t-elle, suspicieuse.
Le Baron ferma les yeux un instant puis les réouvrit prit une grande inspiration et cria
Je vous interdits de dire celà Chambellan ou pas ! Vous n'etiez pas présente lors de ces faîts ! Pour ce qui est de mes hommes ils ont été troublés par mon absence non prévenue ! Skyra a profitée de celà pour les manipulers ! Et les assassins ne sont plus a mes trousses car je leur ai montré qui j'étais alors maintenant arrétez de me traiter comme un moins que rien ou vous verez qu'un moins que rien peut être très dangereux ! Et je n'ai plus a me venger j'ai tué Skyra et j'en suis bien content ! Et pour le meurtre de ma femme je ne dirai rien sur ce qui a poussé mes hommes a le faire !
Horsten dit ensuite d'une voix plus calme
Pour répondre a votre dernière question Chambellan je vais simplement vous dire que vous feriez mieux de vous occupez des ennuis causé par le Fléau qu'a des ennuis mineures dont vous n'etes pas la cible
Horsten se tourna vers la voleuse
Et pour vous répondre madame je ne pense n'avoir oublié aucuns détails
Je vous interdits de dire celà Chambellan ou pas ! Vous n'etiez pas présente lors de ces faîts ! Pour ce qui est de mes hommes ils ont été troublés par mon absence non prévenue ! Skyra a profitée de celà pour les manipulers ! Et les assassins ne sont plus a mes trousses car je leur ai montré qui j'étais alors maintenant arrétez de me traiter comme un moins que rien ou vous verez qu'un moins que rien peut être très dangereux ! Et je n'ai plus a me venger j'ai tué Skyra et j'en suis bien content ! Et pour le meurtre de ma femme je ne dirai rien sur ce qui a poussé mes hommes a le faire !
Horsten dit ensuite d'une voix plus calme
Pour répondre a votre dernière question Chambellan je vais simplement vous dire que vous feriez mieux de vous occupez des ennuis causé par le Fléau qu'a des ennuis mineures dont vous n'etes pas la cible
Horsten se tourna vers la voleuse
Et pour vous répondre madame je ne pense n'avoir oublié aucuns détails
La ressurection est par moment pire que la mort
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Lomah de Sangre
- Chambellan
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- Enregistré le : mar. 02 oct., 2007 12:13 am
- Localisation : Là où on s'y attend le moins
Nullement impressionnée, je penche la tête sur le coté. Les hommes aiment à montrer par de grosses colères qu'ils sont les dominants, en réalité c'est là l'apanage des êtres dépourvus de pouvoir sur les évènements.
Même Kéona l'a compris.
-... Et à cela s'ajoute semble-t-il une totale incompatibilité avec l'autorité hiérarchique agrémenté d'un manque de contrôle de soi plus que flagrant.
Je me penche avec une lenteur calculé vers le pauvre "Baron". Mes mains superbes forment un puits pour accueillir un sourire de pitié.
- Je ne pense pas que vous être un "moins que rien". Je ne fais que le constater. En somme, l'Ost représente pour vous une sorte de refuge loin de vos démons ?
Je croise les jambes et joue avec une fanfreluche en soie rouge qui s'échappe de mon col.
- Mais nous, qu'y gagnons nous ? Car voyez-vous, l'Ost Pourpre est comme une chaine solide, forte, inébranlable. Mais il suffit d'un maillon faible pour qu'elle se torde et ploie sous le poids des responsabilités qu'elle a à contenir. Vous vous portez candidat pour notre ordre, vos problèmes sont donc nos problèmes. Ne pas le comprendre c'est faire preuve d'orgueil ou de bêtise. Et vous êtes copieusement pourvu de l'un comme de l'autre.
Je papillonne des cils d'une manière un poil cabotine
- Je vais malheureusement me répéter, mais... En quoi pourriez-vous représenter un atout pour l'Ost Pourpre ?
Même Kéona l'a compris.
-... Et à cela s'ajoute semble-t-il une totale incompatibilité avec l'autorité hiérarchique agrémenté d'un manque de contrôle de soi plus que flagrant.
Je me penche avec une lenteur calculé vers le pauvre "Baron". Mes mains superbes forment un puits pour accueillir un sourire de pitié.
- Je ne pense pas que vous être un "moins que rien". Je ne fais que le constater. En somme, l'Ost représente pour vous une sorte de refuge loin de vos démons ?
Je croise les jambes et joue avec une fanfreluche en soie rouge qui s'échappe de mon col.
- Mais nous, qu'y gagnons nous ? Car voyez-vous, l'Ost Pourpre est comme une chaine solide, forte, inébranlable. Mais il suffit d'un maillon faible pour qu'elle se torde et ploie sous le poids des responsabilités qu'elle a à contenir. Vous vous portez candidat pour notre ordre, vos problèmes sont donc nos problèmes. Ne pas le comprendre c'est faire preuve d'orgueil ou de bêtise. Et vous êtes copieusement pourvu de l'un comme de l'autre.
Je papillonne des cils d'une manière un poil cabotine
- Je vais malheureusement me répéter, mais... En quoi pourriez-vous représenter un atout pour l'Ost Pourpre ?
"The show must go on, I'll face it with a grin, I'm never giving in
On with the show
I'll top the bill, I'll overkill, I have to find the will to carry on
On with the show..."
[QUEEN]
+Fiche personnage+
On with the show
I'll top the bill, I'll overkill, I have to find the will to carry on
On with the show..."
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